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La pratique des armes du Taïchichuan vient approfondir la pratique à mains nues dès la 4e année, une fois que la forme des 108 mouvements est connue.

Le sabre et l'épée (en bois) sont considérés comme la continuité du corps en Taïchi: prolonger la conscience du mouvement, c'est diriger l'énergie plus loin que la frontière de la peau; amener l'énergie jusqu'au bout de l'arme permet de prendre conscience de son propre corps autrement. Lorsque le poids de l'arme s'annule, n'est plus senti comme une contrainte mais comme une seconde nature, il s'intègre naturellement au mouvement

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